« Je ne vous ai jamais raconté mon retour de l’île de Pâques ?
C’était au détour d’un accostage imprévu du Capitaine Longfellows. L’école maritime s’octroyait de temps en temps un voyage utile où mes camarades et moi engrangions de l’expérience et quelques bêtises. La Veuve Sanders nous avait accompagné pour une fois car elle avait une boîte de chocolat à offrir à un vieil ami et nous allions toutes voiles dehors vers l’Archipel de Vanuatu où il résidait…
Jetant l’ancre à l’île Vaté, nous avions pris un ferry vers l’île Tanna pour accompagner notre bienfaitrice. Katia et les filles n’ayant pu faire le déplacement, nous étions trois jeunes apprentis de la mer à attendre en bord de plage sirotant une limonade. Un vieux briscard qui se tenait là, nous aborda :
- Dites les jeunes, si vous avez du temps à tirer, allez donc faire un tour sur la petite île, là. (Il montrait du doigt quelques palmiers à quelques encablures en pirogue). Vous allez voir les jolis petits lots, vous m’en direz des nouvelles !
Ma foi, Walter, Gary et moi, devions attendre un long moment les civilités de la Veuve Sanders à son ami et nous priions même que le lascar ne lui propose pas un tour en barque ou un tabouret javanais improvisé. Nous n’allions pas rester là comme des statues de sel et nous sautâmes dans la première pirogue venue pour aller voir les donzelles de cette île.
Tout avait l’air normal dès le premier pied posé, du moins à première vue. Il y avait des dizaines de filles magnifiques allant et venant et peu farouches, en les voyant aborder les touristes avec un sourire suave et ravageur. J’observais leurs corps filiformes et je fus sous le charme de leur grâce en un clin d’oeil. Walter et Gary trouvèrent chaussures à leur pied et flirtaient déjà avec deux d’entre elles. De mon côté, j’abordais une de ces créatures et l’embrassais en roulant boulant avec elle sur le sable… »
- Et Alors, Capitaine ? Me demanda Sandra qui avait envahi ma cabine depuis l’autre jour, et aimait à faire des effets de serviettes.
- Ben, nous somme restés un peu sur notre faim. Un peu trop fluettes ces filles, pas assez en chair. On avait l’impression d’être avec des gamines, tu comprends ? Je regardais mes mains de Capitaine aguerri et comprenais ce que je voulais dire, même si les années avaient mûri mes pognes…
- Ben oui, c’est normal. Sur l’île des Tikus, tu t’attendais à quoi ? Répondit-elle en fermant les yeux et faisant la moue, lorgnant sur son popotin.
Je reprenais mon histoire : « Pourtant sur le retour, nous croisâmes à nouveau le vieux marin qui nous avait orientés sur cette île et lui fîmes part de nos avis…
- Hé, mes petits gars ! Je ne savais pas que vous aimiez les vraies filles avec des formes et tout. Vous voyez l’île là-bas ? Et bien, ça fourmille de belles femmes aux formes rondes, très rondes, avec des seins comme des mamelles et surtout…
- Surtout ? Nous répondîmes tous les trois, en cœur, et les yeux éberlués.
- …Surtout des croupes à faire damner un saint et couler les bateaux !
Ses grosses mains faisaient des ronds énormes dans l’air, montrant l’espace occupée par ces derrières énormes. Ses yeux ronds mimaient l’effet qu’ils feraient sur nos mirettes de puceaux et surtout j’imaginais le nom de cette île sans oser le prononcer, tant c’était là-aussi trop énorme… »
Pour Victoria…
Jack Rackham.
Encore une noble cause à défendre, pirate, C' est vrai que le billet de Victoria est déjà chevaleresque! Je mets aussi l' épée et l' écu au service de cette noble cause , je veux bien être l' écuyer d' une telle croisade même si fondamentalement, je ne suis ni minuscule ni majuscule, plutôt cuneiforme.
RépondreSupprimerAh, je suis un pirate des coeurs et quelquefois des corps ! L'apparence n'a valeur que du sujet qu'elle contient, le reste étant des virgules, des points, des mots et des émotions...Quand on aime les personnes, on a envie de les toucher et c'est le principal. Comme une main au coeur qui fait du bien à l'âme !
RépondreSupprimerJ'aime vos airs d'actrice de Cinéma chère Isabelle ♥
Cunéiforme, c'est touchant ^^
Comment dire...tu m'as touché... J'adore!!!! Merci Mon pirate au GRAND COEUR!
RépondreSupprimerJ'aime quand Mr me masse ma croupe on dirait qu'il roule une pâte à pizza^^ , je sens "son plaisir" grandir, il aime quand il y a de quoi "s'accrocher", "se cramponner"^^
Je t'embrasse très fort et encore Merci♥
(Et encore tu ne m'as pas vu quand je fais ma Beyonce^^)
Sacrée Victoria ! Tu vois, certains ont bon goût alors tu n'as pas à t'inquiéter...^^
RépondreSupprimerBeyoncé ? Ah, ça doit valoir le détour même si je suis plutôt Mathilde Seigner ou Emma Thompson, ou Mylène Farmer. Besos la Star ♥
Ton héroïnes n'a pas peur des courant d'air :)
RépondreSupprimerJ'adore ce texte et comme j'adore Victoria, ça tombe bien !
J'aime les gens vrais, ceux qui ne cherchent pas midi à quatorze heures, les sincères et Victoria fait partie de cette race là :)
Gros bisous à vous deux et je n'oublie pas Isabelle !!!!!
Ah bin, Victoria, c'est Victoria !
RépondreSupprimerEt je n'oublie pas Isabelle non plus :)
Besos Virginie ♥
En fait je crois que c'est l'illustration de ton billet qui m'a inspirée le mien (celui ayant pour titre "le divan")...
RépondreSupprimerMerci Pirate !
Aurélie
De rien Aurélie, échange de procédé et je suis allé répondre sur votre Blog !
RépondreSupprimerMerci du passage et besos ♥
Ton blog me plait et je serais plus sur l'île des G---cul enfin callipyge c'est plus joli.
RépondreSupprimerSympa ce pirate ... Il a bien du boulot avec toutes ces donzelles fines ou fortes :-)
Au plaisir de vous lire
Merci de la visite Didi ! Recommencez le plaisir, ce sera encore meilleur...^^
RépondreSupprimerVos atours ne me font pas peur, au contraire :)
Besos et au plaisir aussi ♥
Je baladerais alors mes atours à l'abordage de votre vaisseau cher Rackham !
RépondreSupprimerMerci de ta visite chez moi !
Avec plaisir, nous nous recroiserons Didi ^^
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